Questions fréquentes

Je n’ai pas le temps de méditer !

Méditer prend du temps, suivre un programme prend du temps. C’est un investissement pour vous permettre de reprendre votre vie en mains. C’est inconfortable au moment où vous le faîtes, mais cela rendra votre vie plus confortable par la suite. Beaucoup de personnes qui commencent un MBSR peinent à réaliser les exercices tels qu’ils sont proposés. Cette expérience fait partie intégrante du programme et vous permet, grâce aux échanges avec les autres participants, de prendre du recul sur votre situation personnelle et de trouver de nouvelles possibilités.

Je ne tiens pas en place, puis-je méditer ?

Oui, la pleine conscience ce n’est pas que méditer en étant assis sans bouger d’une part, et il est possible de méditer en mouvement, que ce soit à travers des mouvements doux ou de la marche, ou même grâce aux activités du quotidien. C’est un des intérêt de suivre le programme MBSR : apprendre les différents outils de la pleine conscience pour construire une pratique qui soit adaptée à votre situation personnelle, là où vous en êtes actuellement dans votre vie.

Je médite déjà avec des audios et une application, que m’apportera un cycle MBSR ?

Le MBSR vous apportera une vision complète des outils de la pleine conscience, un espace pour poser vos questions, des compréhensions de consignes plus approfondies et l’expérience d’un groupe avec ses regards croisés sur la pratique.

Ma voisine a fait une attaque de panique en méditant et mon collègue me dit de faire attention aux sectes. C’est vraiment sûr ?

Méditer sans accompagnement professionnel ou avec un professionnel peu ou mal formé peut faire vivre des expériences négatives de méditation qui vont laisser la personne bloquée, même si auparavant elle avait une bonne expérience de la pleine conscience. Membre de l’Association Française des Enseignants du MBSR, j’ai suivi une formation répondant aux critères internationaux de qualité des formations d’instructeurs. J’ai par ailleurs continué de me former, en particulier sur les thématiques de bienveillance, de compassion et du traumatisme du développement.

Le terme « pleine conscience » n’étant pas protégé, tout comme le terme « méditation », vous pouvez trouver des approches radicalement opposée derrière ces mots. L’approche que je vous propose est laîque et largement étudiée scientifiquement. C’est la même que Christophe André ou Rebecca Shankland. Après avoir suivi un programme ou des séances individuelles avec moi, vous êtes autonome. Si vous revenez, c’est que l’accompagnement que je vous ai proposé vous a satisfait et que vous avez envie de retrouver une dynamique de groupe ou d’approfondir certains aspects (en suivant un MBCL après un MBSR par exemple).